
Et de deux! Elle m'a taguée concernant les erreurs de jeunesse. Voici le règlement connu désormais par tout le monde.
Primo, je ne tague personne. En effet, ce tag sur les erreurs de jeunesse fait partie pour certaines d'un domaine privé qu'elles ne souhaitent pas dévoiler sur un blog. Je lance donc ce tag à celles qui le veulent.
Et deuxio, je ne vais pas parler de mes erreurs de jeunesse mais plutôt m'attarder sur une erreur qui surpasse en quelque sorte toutes les autres!
J'ai rencontré ce cher monsieur, lors d'une soirée étudiante. Je ne vous ferai pas part de mon état totalement à jeun lorsque je suis tombée sur lui. Je ne me rappelle plus trop comment la soirée s'est terminée. Quoiqu'il en soit, je l'ai laissé sans numéro (bouh la vilaine!). Pas trop déçue, vu les cas que j'ai pu croisé dans ce genre d'orgies organisées. Puis, par le plus grand des hasards, il s'est trouvé que ce monsieur connaissait une bonne copine à moi. J'ai appris qu'il était parti activement à ma recherche en demandant autour de lui si quelqu'un me connaissait. Et moi, comme je suis une fille qui croit aux bisounours, aux petits coeurs et tout et tout, j'avais trouvé ça hyper meugnon!
On a eu quelques rendez-vous et on est enfin sortis ensemble. Après, ça se corse!
Lors de ces quelques mois, j'avais eu l'occasion d'aller chez lui. Son appart ne ressemblait à rien et certainement pas à un endroit où quelqu'un pouvait vivre. C'était littéralement une porcherie!!! Un appart sombre où le sol était jonché de cadavres de bouteilles, de sacs, de vêtements sales, de papiers et d'objets en tous genres. Tu faisais du slalom et de la course d'obstacles pour te déplacer et te frayer une sorte de chemin. Grâce à mon sens de l'observation, j'en ai déduis que ce monsieur appréciait énormément la gastronomie américaine. Les murs étaient couverts d'illustrations de vieilles voitures Volkswagen (coccinelle et combi).
Je n'ai pas tardé à apprendre que c'était son unique passion dans la vie. Il possédait d'ailleurs son propre combi. Sa passion lui prenait beaucoup de temps et j'ai appris ce que c'était un passionné parlant à une novice: un langage incompréhensible! Une sorte de fou, se faisant comprendre uniquement par d'autres (fous) passionnés à travers un code secret.Il était le genre de monsieur qui voulait à tout prix se faire remarquer par n'importe quel moyen. Il ne supportait pas de rester seul et vivait entouré le plus possible. Il avait deux uniques sujets de conversation: les combis et les soirées. A part ça, c'était le néant, le vide total! Il n'arrivait pas à tenir une discussion dite sérieuse.
Le jour où il m'a demandé de l'accompagner au rassemblement national des combis (oui, oui, ça existe) a été la cerise sur le gâteau. Je ne me voyais pas passer trois jours entourée que de passionnés (fous). J'avais peur de perdre la tête et qu'ils m'embrigadent tous dans leur secte du I LOVE COMBI (et je suis heureux).
Ce monsieur a fini par me plaquer en m'envoyant courageusement un texto sobre mais efficace. Je n'ai pas répondu à son texto, enfin, si, j'ai répondu mais à ma manière! Mais tout cela est une autre histoire...
- Mettre le lien de la personne qui vous a tagué
- Mettre le règlement sur votre blog
- Mentionner des ex honteux (le nombre est selon votre choix, on n'a pas toutes eu la chance d'avoir plein d'ex super pourris) et expliquer pourquoi ils sont honteux
- Taguer cinq personnes à la fin du billet
Primo, je ne tague personne. En effet, ce tag sur les erreurs de jeunesse fait partie pour certaines d'un domaine privé qu'elles ne souhaitent pas dévoiler sur un blog. Je lance donc ce tag à celles qui le veulent.
Et deuxio, je ne vais pas parler de mes erreurs de jeunesse mais plutôt m'attarder sur une erreur qui surpasse en quelque sorte toutes les autres!
J'ai rencontré ce cher monsieur, lors d'une soirée étudiante. Je ne vous ferai pas part de mon état totalement à jeun lorsque je suis tombée sur lui. Je ne me rappelle plus trop comment la soirée s'est terminée. Quoiqu'il en soit, je l'ai laissé sans numéro (bouh la vilaine!). Pas trop déçue, vu les cas que j'ai pu croisé dans ce genre d'orgies organisées. Puis, par le plus grand des hasards, il s'est trouvé que ce monsieur connaissait une bonne copine à moi. J'ai appris qu'il était parti activement à ma recherche en demandant autour de lui si quelqu'un me connaissait. Et moi, comme je suis une fille qui croit aux bisounours, aux petits coeurs et tout et tout, j'avais trouvé ça hyper meugnon!
On a eu quelques rendez-vous et on est enfin sortis ensemble. Après, ça se corse!
Lors de ces quelques mois, j'avais eu l'occasion d'aller chez lui. Son appart ne ressemblait à rien et certainement pas à un endroit où quelqu'un pouvait vivre. C'était littéralement une porcherie!!! Un appart sombre où le sol était jonché de cadavres de bouteilles, de sacs, de vêtements sales, de papiers et d'objets en tous genres. Tu faisais du slalom et de la course d'obstacles pour te déplacer et te frayer une sorte de chemin. Grâce à mon sens de l'observation, j'en ai déduis que ce monsieur appréciait énormément la gastronomie américaine. Les murs étaient couverts d'illustrations de vieilles voitures Volkswagen (coccinelle et combi).
Je n'ai pas tardé à apprendre que c'était son unique passion dans la vie. Il possédait d'ailleurs son propre combi. Sa passion lui prenait beaucoup de temps et j'ai appris ce que c'était un passionné parlant à une novice: un langage incompréhensible! Une sorte de fou, se faisant comprendre uniquement par d'autres (fous) passionnés à travers un code secret.Il était le genre de monsieur qui voulait à tout prix se faire remarquer par n'importe quel moyen. Il ne supportait pas de rester seul et vivait entouré le plus possible. Il avait deux uniques sujets de conversation: les combis et les soirées. A part ça, c'était le néant, le vide total! Il n'arrivait pas à tenir une discussion dite sérieuse.
Le jour où il m'a demandé de l'accompagner au rassemblement national des combis (oui, oui, ça existe) a été la cerise sur le gâteau. Je ne me voyais pas passer trois jours entourée que de passionnés (fous). J'avais peur de perdre la tête et qu'ils m'embrigadent tous dans leur secte du I LOVE COMBI (et je suis heureux).
Ce monsieur a fini par me plaquer en m'envoyant courageusement un texto sobre mais efficace. Je n'ai pas répondu à son texto, enfin, si, j'ai répondu mais à ma manière! Mais tout cela est une autre histoire...
Mince pas passé mon com.
RépondreSupprimerJ'ai loupé ce billet qui est savoureux, la porcherie, la passion du gars et le reste, très bon.
Bienvenue ici Aude! Et merci pour le compliment :-)
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