01 février 2010

Sans titre

Je ne sais comment titrer mon billet, tu m'excuseras hein?! Aujourd'hui, je ne fais pas d'effort pour faire de longues phrases ornées de mots surannés, suspendues par des mots grossiers et autres interjections et se terminant par un point. Ah, bah, merde, je viens d'en faire une. Incorrigible, je suis! Aujourd'hui, je ne me creuse pas longtemps la tête pour essayer vainement de trouver un sujet, susceptible d'intéresser deux-trois pequenos qui iront liker sur Hellocoton.
Non, aujourd'hui, ce sera du billet fast-food. Non pas que ce sera vite mangé lu mais plutôt qu'il y aura des frites et du ketchup, un mac Poulet, un grand Fanta et un sundae caramel. Mais sans les matières grasses, je te rassure! Aaaaaaahhh mon régime, t'entends-je crier. Non, en fait, je me doute que tu cries cela parce que je pense tout simplement, que l'on se ressemble, un peu non? Et que je ne crierai jamais de tels mots. Et si tu aimes ce que j'écris, c'est qu'il y a éventuellement moyen de conclure... Pardon, je m'égare!

'tin 10 lignes pour rien dire et passant du coq à l'âne. Je suis la reine des gloseuses! Oui, donc le billet fast-food.

Frites & ketchup:
Juste qu'il m'est venu l'idée formidable et folle d'ouvrir un deuxième lieu comme celui-ci. Autre pseudo, autre titre, autre adresse. Complètement différent de l'ironie du sort, où je vais pouvoir étaler mon intelligence et ma culture et surtout démontrer ma passion au réseau mondial. Ce qu'il y a de plus chiant avec la création d'un blog, c'est tout ce qui est graphisme et habillage. Heureusement, elle m'a proposé son coup de main. Impossible de savoir quand tout sera prêt pour accueillir le contenu. Je ne prévois rien. Impossible d'en savoir plus, à part que mon deuxième blog concerne le domaine musical; domaine qui a fait surface ici et là sur l'ironie du sort. Je tease bien, rassure-moi?!

Mac Poulet:
J'ai testé pour toi, passer une soirée à la Chapel-ar-Wern. Le climat est rude. Les voitures blanchissent dès la tombée de la nuit. Mais l'intérieur des maisons a du caractère (poutres apparentes et cheminée en mode off). La connexion internet n'est pas toujours évidente. La tnt n'existe pas (honnêtement, je ne sais pas comment je ferai). L'apéritif est corsé. La tartiflette est bonne. Le fondant au chocolat dégouline dans l'assiette. Le voisin de gauche n'est pas placé à ma gauche par hasard. Ma voisine de droite l'a compris plus vite que moi. Le voisin d'en face me fait penser à une copine de promo mais en mec. Flippant. Les animaux de compagnie (pour tenir chaud et non ce que l'on pourrait croire) sont tellement mimi que l'idée de les pet-napper m'a traversé l'esprit plusieurs fois. J'ai suggéré toutefois l'idée à l'hôtesse des lieux qui n'a pas du tout approuvé. Bon.
Le temps ne passe pas à la Chapel-ar-Wern. Il fait du surplace, s'accorde une pause pour reprendre un cours presque normal. Pour ne pas y penser, on joue à des jeux comme Question de merde (à conseiller, jeu hautement intellectuel), Time's Up et le traditionnel Uno. Et puis vient le temps de partir grâce à la fausse excuse: on a de la route à faire! Une excuse de 35 km qui fonctionne bien à deux heures du mat'. Avant de prendre le volant, on fera chauffer notre véhicule à 4 roues en demandant au gentil jeune homme coiffé d'un couvre-chef québécois de nous gratter le pare-brise blanc (n'y voit aucune connotation, stp, merci).

Fanta:
Je m'étais jamais autant essayé à la parade de l'entretien. Si, tu sais, la parade, celle qui consiste à montrer que tu es motivé-e, que 'tin, tu le veux ce poste, que tu es irréprochable, que tu
t'auto-convaincs que tu as certaine connaissance en outils 2.0 ('tin mon mémoire m'aura au moins servi à quelque chose) et que tu souhaiterais l'exploiter dans un contexte professionnel. Reste à voir si la parade fonctionnera cette semaine.

Sundae caramel:
L'endroit où je vis actuellement prend la saveur douce d'un sundae caramel grâce aux moments de confidence sur un parking désert de Gwenrann, aux atomes crochus qui se révèlent au fur et à mesure, aux fous rires partis de rien, et surtout grâce à mes progrès impressionnants (cherche pas, je suis une très bonne élève) en billard. C'est peut-être pour cela que je suis arrivée si détendue à mon dernier entretien. Un tout. Qui sait?

Ce billet a été écrit à la manière d'un menu fast-food, c'est à dire sans de longues relectures avant publication. Aussitôt écrit, aussitôt publié!

6 commentaires:

  1. Ah ouai ... lui ... j'ai passé quelques temps avec lui moi aussi, c'était un peu trop court malheureusement ;)

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  2. Lui? mais qui est-ce? Trop bien j'attends le nouveau blog! bisous ma belle!

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  3. sur place ou à emporter?

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  4. et tout devient plus clair avec des images
    une somme d'épiphénomènes reliés par nos regards
    insoutenables.

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  5. Ha, mais oui, vive ton mémoire ;) Je ne mange jamais en fast-food mais je veux bien revenir sans problème essayer ton menu !

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  6. @ Gaby: c'est toujours trop court avec lui :-)

    @ July: un mec qui écrit bien ou un brillant écrivain comme tu veux. Nicolas Rey qui sera en dédicace à la fnac de Naoned le 12. J'espère y aller.

    @ Anonyme: sur place! On n'est pas bien ici?? Et je ne valide que les images car après, je n'ai pas ton niveau de réflexion. C'est beau les images, ça donne des métaphores par écrit.

    @ Caro: jamais j'aurai cru que je devrais remercier mon mémoire. C'est ironique, la vie!

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